Ciel et Espace fait un détour en Mongolie !

Si vous qui nous avez suivis pendant plusieurs semaines en Mongolie êtes intéressés par la planétologie, l’astrophysique et l’astronomie, nous vous conseillons ce numéro de Ciel & Espace.

En fait, nous vous conseillons chaque numéro de Ciel et Espace mais dans celui-ci vous pourrez reconnaître deux mecs que vous connaissez ou que vous avez croisé dans les steppes ! En effet, deux pages sont consacrés à nos activités mongoles !

Et comme tous les autres numéros, il contient des informations sur ce qu’il est intéressant d’observer durant le mois, aussi bien à l’œil nu qu’au télescope. Alors continuez de rêver et abonnez-vous !

A & B, le 29 janvier 2015.

La Mongolie, jamais finie !

Une pensée à tous ceux que nous avons croisé durant notre voyage mais également à tous ceux qui nous ont suivis via ce blog. Encore un grand merci à vous et voici une petite info que nous attendions avec impatience.

Nous avons croisé en juillet l’équipe de reporters de l’émission de France 5 « Échappées Belles » qui était en pleine réalisation d’un tournage. Voici d’ailleurs sur cette photo une des protagonistes de l’équipe 😉 !

L’épisode sur la Mongolie sera donc diffusé ce samedi 10 janvier à 20h35 sur France 5 !

Voici le lien de l’émission (ICI) avec bande annonce et photos ; les plus aguerris reconnaitront parfois la Vallée de l’Orkhon !

Bon retour (temporaire) au pays de l’airak !

B & A (& Charlie), le 8 janvier 2015.

Sous le ciel de Mongolie…à Gretz-Armainvilliers ! (bis, LE RETOUR !)

Enfin, oui enfin ! Pour ceux qui n’ont pas pu assister à la présentation de notre voyage le 4 octobre dernier à Gretz-Armainvilliers (devant au moins 600 000 personnes !!), voici la vidéo à regarder ou à télécharger !

Merci beaucoup à Bertrand Boudaillier qui a eu la bonne idée de filmer le tout.  Le son n’est pas top mais le plus gros du bruit des vidéoprojecteurs a été supprimé !

• C’est ici que ça se passe !

Sachez également que nous ferons de nouveau cette présentation le jeudi 11 décembre à 15h. Nous serons alors à GEOPS (Géosciences Paris Sud, à Orsay) ! Le laboratoire où Anthony travaille. Ceux qui sont déjà venu pourront rentrer sans soucis et pour les autres prévenez nous ;).

La p’tite carte pour s’y rendre : ICI.

Nous, le 27 novembre 2014.

Sous le ciel de Stellarium, en Mongolie !

La contribution au logiciel Stellarium prend enfin forme ! Nous vous en avions parlé dans un article précédent, les discussions que nous avons pu avoir avec les guides et les habitants de la vallée de l’Orkhon durant  notre séjour nous ont permis d’en savoir plus sur la cosmogonie mongole.

Le logiciel Stellarium, un véritable planétarium très utilisé par la communauté des astronomes amateurs mais aussi par les curieux (comme vous nous l’espérons !), permet de connaître de nombreux détails sur la cosmogonie de différentes civilisations : Arabe, Occidental, Chinoise, Aztèque, Inuite… Au total ce sont 19 civilisations qui sont représentées ! Alors que la cosmogonie mongole n’y figurait pas, c’est désormais chose faite grâce aux informations que nous avons fourni aux programmeurs, Alexander Wolf et Georg Zotti que nous remercions vivement, ainsi que l’Uranoscope de France et OutofnowHere sans qui rien n’aurait été possible !

N’hésitez pas à aller faire un tour sur ce logiciel gratuit et très facile d’utilisation ! Il est disponible au téléchargement ICI sur Windows, MacOS et Linux et bénéficie de mises à jours régulières.

Nous, le 20 octobre 2014.

Merci !

Le voyage touche à sa fin mais tout ne s’arrête pas là… Des retombées des travaux menés ici auront lieu un peu plus tard. Pour les plus curieux, attendez le 4 octobre à Gretz !

Il est donc temps de passer aux remerciements, cependant il est impossible de nommer toutes les personnes qui ont contribué de près ou de loin à ce voyage. Essayons tout de même !

Avant tout, un immense merci à Sylvain Bouley et à l’Uranoscope de France. Directeur de thèse d’Anthony et membre de cette association, il nous a proposé ce voyage et nous as mis en contact avec la direction du camp d’Ursa Major. La collaboration entre l’Uranoscope et Step’In a fait naître ce projet de voyage astro et contribue aux échanges scientifiques franco-mongols. Merci à eux.

Merci à l’agence Step’In pour le financement de ce voyage. Un grand merci à Soyoloo, Tungaa et toute l’équipe de DMD pour nous avoir permis de travailler dans d’excellentes conditions. Ils ont été d’une grande aide durant ces deux mois et en particulier lors de notre passage à Oulan-Bator. Le télescope utilisé sur place pour nos animations fût une vraie porte ouverte vers la découverte des étoiles au milieu de nulle part pour nos auditeurs comme pour nous. Merci à eux pour le partenariat établis cette année avec l’école de Khujirt.

Merci à l’Association Française d’Astronomie (AFA) et à Nicolas Franco pour nous avoir aidé dans la construction de nos animations, en particulier celles effectuées avec les enfants de l’école de Khujirt.

Merci également à l’équipe du logiciel Stellarium et notamment à Alexander Wolf et Georg Zotti pour la réactivité, la disponibilité et l’enthousiasme dont ils ont fait preuve concernant le projet qui a permis d’enrichir le logiciel de la cosmogonie mongole.

Un immense merci à l’équipe d’Ursa Major pour ces deux mois inoubliables passés avec eux. La barrière de la langue n’a en rien freiné la communication et nous avons été totalement intégré à l’équipe. Baïchra, Ugi, Nimchee, Oyurna, Nirugui, Chinguu, Orunguoi, Ogui et Dogui, merci à tous du fond du cœur pour ces moments passés ensemble.

Un grand merci à Batmunkh pour l’intérêt qu’il nous a porté, son enthousiasme et sa passion qu’il a su nous faire partager. La rencontre avec ce scientifique du RCAG en collaboration avec l’Uranoscope de France a été une très belle surprise.

Lors de ce voyage, nous avons rencontré de nombreuses personnes, guides, touristes, nomades, amis, avec qui nous avons partagé le temps d’une soirée ou plus, de très bons instants. Merci pour ces rencontres et ces découvertes enrichissantes. En vrac : Bilguunee, Gerelmaa, Rémy, Nyama, Alicia, Éric, Tseegii, Nara, Pierre, le couple et leurs deux enfants du 26 Juillet (merci pour la balade à cheval !), Alain et Marie-Jo Bolopion, Michael de Londres accompagné de sa famille et Michael du Texas, une américaine de San Francisco, les groupes Randocheval de l’UCPA (!) et tant d’autres…

Merci à tous ceux qui nous ont suivi de près ou de loin sur notre site, nos familles, nos amis et ceux que nous avons rencontrés sur place. Merci pour leur soutien sans faille et les contacts que nous avons gardé tout au long du voyage.

Nous, le 15 septembre 2014.

Après les étoiles des steppes…celles d’Oulan-Bator !

Pour cette dernière journée dans la capitale mongole, nous avons eu l’immense plaisir de visiter l’observatoire se situant dans les hauteurs de la ville en compagnie de Tungaa, notre interprète hors pair et de Batmunkh que nous avions rencontré au RCAG la veille.

Le site surplombe Oulan-Bator, une vue imprenable sur les montagnes encerclant la capitale s’offre alors à nous. Quelques flocons sont même tombés lors de notre visite…dépaysant ! Au milieu des bâtiments datant de l’ère communiste sont disposés quelques coupoles abritant les instruments. L’observatoire fut en grande partie construit au milieu des années 60 en plein contexte de guerre froide. Les régimes communistes de l’époque, sous influence soviétique, étaient désireux de développer leur recherche en aérospatial et en astronomie. Les instruments dont dispose les mongols actuellement n’ont pas été remplacé depuis. Ils leur permettent tout de même de travailler sur le Soleil et en particulier sur son cycle d’activité ainsi que sur la surveillance, la détection et l’analyse spectrale des petits corps du Système Solaire en étroite collaboration avec une équipe allemande.

La coupole que nous as fait visité Batmunkh abrite un télescope destiné à l’observation solaire sur lequel est, lorsque les conditions d’observation le permettent, monté un télescope de 20cm de diamètre prévu pour l’observation des flashs lunaires. Celui-ci fut financer il y a quelques années par l’Uranoscope de France et de ce fait, diversifie les activités de recherche du laboratoire.

Après une longue discussion bien agréable autour d’un bon plat chaud, le tsuiven, et le thé traditionnel mongol (thé au lait salé), nous sommes partis très satisfait de cette rencontre. La réceptivité du scientifique nous as comblé et est pleine d’espoir dans la pérennité du partenariat entre l’Uranoscope et le RCAG.

A & B, le 14 septembre 2014.

Rendez-nous nos yourtes !

C’est au bout d’une longue randonnée pédestre au milieu des pots d’échappement et des klaxons que nous sommes parvenus au narantuul, le marché noir d’Oulan-Bator. Contrairement à ce que l’on pourrait penser au premier abords, ce marché n’a rien de noir. Il s’agit d’un gigantesque endroit où l’on peut trouver de tout, et surtout rien. Le lieu est parsemé d’allées très étroites qui donnent leur chance aux pickpockets lorsqu’il y a foule. Il suffit de s’y rendre en semaine pour éviter l’affluence et ce genre d’ennuis car si cela vous arrive, la priorité de la police est visiblement le choix du repas pour le déjeuner plutôt que le sort d’un touriste agressé dans un lieu qui ne lui est pas destiné !

Après un retour à pied (10km au total) et l’estomac vide, nous nous sommes arrêtés dans un fast food bien connu par chez nous (non pas le M, il n’y en a pas en Mongolie, plutôt celui avec l’Oncle Sam qui élève du poulet en plein air), où l’on a pu se substanter pour 4€. Un avantage de plus à rajouter à la liste des points positifs de la capitale mongole.

Un retour sur la place Sukhbaatar nous a permis de rencontrer quelques personnages hauts en couleur. Après la rencontre avec un mongol éméché nous avons trouvé refuge dans les échecs. N’ayant pas l’habitude de voir des occidentaux s’inviter à la table de joueurs locaux, ceux-ci trouvaient plaisir à regarder se faire battre un blanc-bec à plate couture !

Après cette partie dont l’issue était totalement contrôlée afin de ne pas vexer les locaux…nous avons repris notre route en direction d’un bâtiment quelconque dont le chemin d’accès est pour le moins surprenant, en témoigne ces photos :

Le bâtiment qui abrite le spectacle que nous sommes allés voir en début de soirée est plus que vétuste à l’extérieur mais présente tout de même quelques attributs à l’intérieur. L’appréhension redescend quelque peu lorsque nous arrivons dans la salle. Une petite estrade où s’installe le public est situé à un mètre de la scène qui se trouve quant à elle en contrebas. Le permis de prendre des photos étant aussi cher que le prix d’entrée, les photos manquent, mais les souvenirs restent !
Une première chanteuse fait son entrée. La puissance vocale de la cantatrice nous laisse sans voix. Nous nous demandons même si celle-ci n’est pas aidée par quelques micros et enceintes, visiblement non. Les danseurs, musiciens et chanteurs se succèdent où les chants traditionnels diphoniques mongols font place à quelques instruments de musique parfaitement maîtrisés et dont les sonorités nous sont totalement inconnues en occident. Une vraie découverte donc, puisque les chants traditionnels que l’on pourrait même qualifier de surnaturel se marient à merveilles avec le tempo donné par les percussions, les harpes et xylophones mongols ainsi que les célèbres violons à deux cordes dont la volute est ornée d’une tête de cheval.

Durant toute cette journée, les rencontres se sont multipliées. Tout d’abord 4 guides avec lesquels nous avons fait connaissance dans les steppes mais aussi les deux derniers groupes de voyageurs que nous avions eu le plaisir d’avoir à Ursa Major et qui assistaient au concert. Oulan-Bator n’est pas une capitale si grande qu’elle n’y parait ! Le centre ville est donc pour le moins concentré et il n’est pas rare d’y retrouver inopinément quelques amis au cours d’une balade. Vous conviendrez que cela est plutôt inhabituel dans nos métropoles !

Invités par l’un des deux groupes à diner, nous nous sommes joints à eux pour leur dernière soirée en Mongolie. À la suite de cela, nous avons décidé de rentrer à l’hôtel (hé oui, nous logeons tous à Evergreen, « l’hôtel nature ») avant de nous rendre dans l’hôtel voisin pour y faire un karaoké. Non ne sommes pas ringards ! En Asie, ces endroits louches sont à la mode et à UB, les avenues grouillent de karaokés ! Une petite pièce sans clim’ où nous nous entassons à 8 devant un écran où des vidéos des 80’s défilent en boucle devant nos yeux éberlués. L’ambiance est bonne enfant et on se prête vite au jeu, surtout pour 2  barytons expérimentés comme nous !

Le lendemain, la visite du RCAG (Research Center of Astronomy and Geophysics) nous a particulièrement surpris. Accueillis par un homme qui ne s’était pas donné la peine de prévenir son équipe de notre arrivée, celui-ci nous a pressé pour y visiter le planétarium et le musée de l’espace de la capitale pour rapidement retrouver ses occupations qui n’étaient autre que le foot avec ses collègues. Nous avons donc présenté le but de notre visite et établis quelques contacts pour d’éventuels collaborations futures (que nous vous détaillerons le 4/10 à Gretz) devant une petite poignée de personnes.

Ne voulant pas rester sur un échec, nous avons pris rendez-vous avec Batmunkh, un physicien ayant déjà travaillé avec l’Uranoscope et se sentant largement plus impliqué que son homologue. Admirablement aidés par Tungaa, une employée de l’agence de voyage DMD avec laquelle nous interagissons depuis le début de notre séjour, nous avons pu discuter comme bon nous semble de nos thématiques de recherche respectives et aurons le grand plaisir de visiter l’observatoire de la ville demain à ses côtés. Des échanges franco-mongols sont à prévoir puisque celui-ci est très ouvert à toute proposition de collaboration avec des étudiants français. Nous aurons d’ailleurs le plaisir de nous étendre sur ce point à Gretz !

A & B, le 13 septembre 2014.

Sous le ciel de Mongolie…à Gretz-Armainvilliers ! (bis)

Vous attendiez tous avec impatience l’heure de notre conférence à Gretz-Armainvilliers, tous les yeux rivés devant vos écrans d’ordinateur en train d’actualiser la page de l’article Sous le ciel de Mongolie…à Gretz-Armainvilliers !

Sans plus attendre (roulement de tambour………………..), la cérémonie aura lieu à 21h.

Soyez ponctuel.

Cordialement.

Nous, le 12 septembre 2014

Oulan-Bator : deuxième tentative

Afin de ne pas rester sur un désintéressement de nos lecteurs en cette belle fin de voyage, nous avons cherché le positif dans la capitale mongole en fuyant non sans peine les pots d’échappements.

Après avoir dépassé nos premiers sentiments de profonde déception, nous avons fait appel à Bilgunee et Gerelmaa, nos deux amies mongoles que nous avions rencontré il y a deux mois pour nous faire visiter les meilleurs recoins d’Ulaanbaatar. Qu’elle n’a pas été notre surprise lorsque nous les avons rejoint au temple Megjid Janraysig, le plus grand de la capitale. L’entrée du lieu nous as paru modeste et les milliers de pigeons y  grouillant nous ont donné le sentiment d’être de retour sur les trottoirs parisiens. Cependant, une gigantesque porte et un seuil d’une largeur suffisante pour nous obliger à nous incliner dès l’entrée nous ont laissé entrevoir la statue religieuse l’a plus imposante qui nous ai été donné de contempler. De ses 24m de haut, celle-ci domine la pièce. Confinée dans un espace relativement étroit, elle symbolise la paix et est entourée d’un millier de statuettes décorant les murs qui quant à elles, symbolisent la longévité du temple. Rappelons que celui-ci fut détruit sous l’ère soviétique, comme beaucoup d’autres d’ailleurs. Une centaine de rouleaux de prières encerclent la statue principale et deux divinités s’érigent de part et d’autre de celle-ci. Le lieux est calme et impose la sérénité et le recueillement et ce, sans austérité aucune.

Après un rapide déjeuner près de la place Sukhbaatar nous sommes allés au cinéma. Vous conviendrez qu’il n’est pas commun de regarder un film en anglais sous-titré mongol. Nous nous garderons de vous faire part du choix du film tant sa qualité nous a piqué les yeux (il s’agissait « pourtant » d’une « grande » production américaine dont nous « raffolons » d’ordinaire).

Nous nous sommes ensuite rendus en début de soirée sur un point de vue en hauteur, excentré de la capitale, nous offrant une vue imprenable sur la ville. Le Zaisan Memorial se situe sur une butte dans l’un des quartiers huppés d’Ulaanbaatar. Erigés par les russes pour honorer leurs soldat morts pendant la Seconde Guerre Mondiale, le monument consiste en une statue d’un militaire brandissant un drapeau dans sa main droite et une arme à sa main gauche. La mosaïque en cercle située derrière lui dépeint les scènes de guerre et de victoire de l’URSS sur l’Axe.

Notre réputation nous précède puisqu’il nous a été donné de conseiller un amateur mongol en astronomie sur la mise en station de son télescope à monture équatoriale pour l’observation de la Lune, quasi pleine ce soir.

Après avoir contemplé les milliers de lumières constellant non pas la voûte étoilée mais bien la capitale, nous sommes redescendus afin de goûter les ulchurs de la ville. Il n’y a pas photo, ceux de notre cuisinière mongole préférée, Ugi, n’ont rien à envier à ceux que nous avons eu tout de même le plaisir de partager ce soir avec nos deux amies.

Demain, nous tenterons le marché noir, certes de mauvaise réputation, mais il s’agit sans doute de l’un des lieux les plus authentiques de la capitale !

A & B, le 10 septembre 2014.

Evergreen forever

Venez vous détendre et passer un moment serein dans notre hôtel Evergreen. De votre suite luxueuse vous découvrirez une vue imprenable sur la ville, un service de chambre de qualité avec minibar comprenant une tablette de chocolat et un snickers périmés depuis un an, la télé avec chaîne unique pour vous éviter d’avoir à choisir, pas trop de lumières fonctionnant afin de ne pas être éblouis et tous les matins, un petit déj…pour le moins unique (dans les deux sens du terme).

L’hôtel Evergreen est vert. Si vous n’aimez pas le vert, il y a aussi un peu de marron, et du blanc dans la salle de bain. La salle de bain, anciennement toilette et le toilette, anciennement salle de bain sont pratique puisque située aux côté opposé de la chambre. La douche intègre une prise électrique à laquelle est branchée un sèche cheveux, très utile pour les voyageurs suicidaires !

B & A, le 10 septembre 2014